sam.
8/06
2024
10€*

Anniversaire Part 2 : Canto – Drenalinz – Black Warrior – DJ Funkoff

Un voyage musical à travers les meilleures chansons du jazz brésilien.

De la douceur à la ferveur des grands classiques,ce quartet nous livre des titres empreints de distinction et de délicatesse,représentatifs de la richesse musicale de ce pays.

Baignant dans la musique depuis toujours, la jeune chanteuse Elora Antolin rayonne de par sa personnalité, son charme et la vivacité de son scat.Sa façon de chanter, sans effet ni vibrato

mais sous la permanente tension de la syncope rythmique nous transporte Bien loin de l’éternel cliché de la samba à plumes.

Un mélange subtile d’improvisations Riche et coloré, auquel vient s’ajouter sa voix sensuelle.

Sa rencontre avec Thomas Mayeras au piano,Rémy Hervo à la contrebasse et Frédéric Robert à la batterie donne l’un des groupes les plus inspirés et rafraîchissant du moment.

Une belle réussite.

 

 

Les 4 Marennais nous livrent un rock énergique, saturé et cuivré.

Les textes, en anglais, parlent de révolte et d’amour ; parfois provocateurs, parfois accusateurs d’une société à la dérive, ils sont aussi gorgés d’espoir dans l’avenir.

Après un EP 5 titres en 2021 « Only two years to be rockstarz », (clin d’œil auto-ironique à leur âge.) Les DrëNalinZ repartent en studio pour enregistrer un album 11 titres en 2023 : « Golden Shower ». Avec un son plus abouti, toujours puissant et émotionnel cet album se veut comme une réelle réponse aux faits sociétales actuels : On nous fait subir des sales choses mais on reste debout, toujours la tête haute !

 

 

 

Formé à Châteauroux en 1997, sur les ruines du groupe FEELING I, le groupe Black Warriors ne distille pas que du rhum

Venez chalouper au rythme du Roots Reggae, venez fêter le 12ème anniversaire de la Bigaille sous des airs tropicaux

 

 

De l’electro-balkan au dubstep le plus violent en passant par des musiques du monde survitaminées où encore le
ghetto-funk et la musette, Dj Funkoff débute sa grande carrière vers les années 2009, ce qui était rare cette année là. Emprunt d’une
austérité singulière et d’une haleine toute aussi fulgurante, ses fans sont rapidement considérés par la presse
people comme étant masochistes, de mauvais gout, ou tout simplement un peu niais. C’est avec un grand
contentement que celui ci accepte ces critiques en rappelant la phrase de Lao-Tseu: « C’est celui qui dit qui y est ».
Allez, venez bouger votre boule les amis, on vous attend!


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